Un manuscrit? Il est ici.

La bibliothèque, l' antre du savoir et de la sagesse, car l'un n'existe pas sans l'autre. On entend une clochette tintée en cadence dans l'entrée, se rapprochant doucement mais fermement des livres et de leur contenu, de leur histoire, de leur secret, précieusement entreposés ici. A l'angle des "Encyclopédies du monde", une silhouette petite et plutot fine, habillée d'un sarouel et d'un pull léger noir trop grand de 2 tailles. Son visage rond est illuminé par la lumière du jour, ses yeux bleus verts réagissent et se teintent d'un minuscule cercle jaune autour de la pupille. Dans une main recouverte d'une mitaine, la jeune femme tient une casquette en kilt, et coincés du même côté, deux livres, un fin et léger portant en tire "Je suis une légende" et l'autre, beaucoup plus ancien, porte un pentacle avec un oeil fermé en son centre. La jeune fille repose au fond du rayon le livre avec l'insigne ésotérique, de sa main découverte, laissant apparaitre un étrange tatouage tentaculaire remontant jusqu'à mi bras.

-Bien ,il n'y avait rien d'interessant dans celui là.

Elle soupire, comme si on lui retirait un jouet. Et elle regarde un ouvrage juste à coté de celui qu'elle vient de poser. Elle l'attrape, et regarde la couverture. Le livre à l'air sérieux. Avec un sourire, elle retourne vers la sortie... Et s'arrete nette en voyant la silhouette en face d'elle. Une odeur de pourri. Un odeur à retournée le ventre. Elle s'arrete et observe la silhouette.

Lucie ne savait plus quoi faire pour rattraper ce fichue Marthis, elle orienta donc ses recerche vers la bibliothéque en éspérant trouver un ouvrage mentionnant un vampire à la longue chevelure noire du nom de Marthisis Calls. Elle passa les lourd battant de bois, de l'autre coté, une odeur de chien mouillé vient lui chatouiller les narines. Un peux plus loin se trouvait Korry qui l'observait.

La louve ne bougea pas durant quelques instants, regardant la chasseuse avec incertitude. Et puis, elle se rapella qu'elle était dans une bibliothèque, et qu'on ne tirait pas sur les gens dans ce genre de nef. La louve se détendit donc, reprit un peu de son souffle pour calmer son coeur et reprit donc son chemin, avec son sourire en coin habituel. En passant à côté de Lucie, elle durcit ses muscles, au cas où.

"Tu ne ferais pas ça ici, chasseuse, hum?"